"Halte au n'importe quoi!": Royal à l'offensive
Envoyé spécial, Rennes.
Hier en meeting à Rennes devant plus de 15 000 Français et Françaises venus de tous les départements du Grand Ouest (nota: 40 cars n'ont pas pu accéder au site du Parc des Expos Rennes-Saint Jacques, bloqués dans les embouteillages), Ségolène Royal s'est montrée offensive et pugnace comme à son habitude.
Il faut noter que pour la première fois, elle a nettement dénoncé le bilan calamiteux du candidat-sortant de l'UMP (hausse des violences sur les personnes, déficit du commerce extérieur en hausse, croissance molle, prélèvements obligatoires en hausse!) et ses mensonges: "Halte là! Halte à la démagogie, au clientélisme! Halte au n'importe quoi!" a-t-elle lancé avec force.
Elle a également pointé la faiblesse du candidat de l'UDF qui brouille les pistes mais a toujours voté à droite, n'a appartenu qu'à des gouvernements de droite... "Lui n'a pas de problème de chiffrage puisqu'il n'a pas de projet!"
Ségolène Royal a ensuite explicité sa démarche: "notre chemin, (...) c'est le bon!". Elle a également détaillé sa vision de l'entreprise, placée au coeur d'un rapport gagnant-gagnant. Il faut aussi rajouter que sur la question du financement, Ségolène Royal a été très claire: "ce ne sont pas des dépenses, ce sont des investissements!". Il ne faut pas voir les coûts à court terme mais dans une logique d'investissements productifs à long terme, de "cercles vertueux".
Devant une salle debout, elle a conclu: "Mon équipe de campagne, c'est vous! J'ai besoin de vous! (...) Vous êtes mes porte-paroles!".
La dynamique est lancée. Rennes, après TF1, était la première étape de la course vers la victoire!
Sur la route du retour, les radios annonçaient le dernier sondage CSA: la candidate socialiste dépassait Nicolas Sarkozy au premier tour et réduisait l'écart au second tour (49 Vs. 51%).
Il faut être prudent mais ces jours derniers, l'espoir a changé de camp et rejoint celui du changement profond.
Hier en meeting à Rennes devant plus de 15 000 Français et Françaises venus de tous les départements du Grand Ouest (nota: 40 cars n'ont pas pu accéder au site du Parc des Expos Rennes-Saint Jacques, bloqués dans les embouteillages), Ségolène Royal s'est montrée offensive et pugnace comme à son habitude.
Il faut noter que pour la première fois, elle a nettement dénoncé le bilan calamiteux du candidat-sortant de l'UMP (hausse des violences sur les personnes, déficit du commerce extérieur en hausse, croissance molle, prélèvements obligatoires en hausse!) et ses mensonges: "Halte là! Halte à la démagogie, au clientélisme! Halte au n'importe quoi!" a-t-elle lancé avec force.
Elle a également pointé la faiblesse du candidat de l'UDF qui brouille les pistes mais a toujours voté à droite, n'a appartenu qu'à des gouvernements de droite... "Lui n'a pas de problème de chiffrage puisqu'il n'a pas de projet!"
Ségolène Royal a ensuite explicité sa démarche: "notre chemin, (...) c'est le bon!". Elle a également détaillé sa vision de l'entreprise, placée au coeur d'un rapport gagnant-gagnant. Il faut aussi rajouter que sur la question du financement, Ségolène Royal a été très claire: "ce ne sont pas des dépenses, ce sont des investissements!". Il ne faut pas voir les coûts à court terme mais dans une logique d'investissements productifs à long terme, de "cercles vertueux".
Devant une salle debout, elle a conclu: "Mon équipe de campagne, c'est vous! J'ai besoin de vous! (...) Vous êtes mes porte-paroles!".
La dynamique est lancée. Rennes, après TF1, était la première étape de la course vers la victoire!
Sur la route du retour, les radios annonçaient le dernier sondage CSA: la candidate socialiste dépassait Nicolas Sarkozy au premier tour et réduisait l'écart au second tour (49 Vs. 51%).
Il faut être prudent mais ces jours derniers, l'espoir a changé de camp et rejoint celui du changement profond.
Une heure avant le début du meeting: une salle déjà comble!... et tous les cars ne sont pas encore là!