Clim’City : un très bel outil pour former de futurs éco-citoyens
Notre blog a aussi vocation à vous présenter quelques trouvailles de ses membres au cours de leurs longues pérégrinations à travers le Web mondial ! Pour bien profiter du week-end, Romain vous présente un jeu écolo qui a retenu son attention.
Pour qui s’intéresse aux politiques de l’environnement, et notamment de réduction des émissions de gaz à effet de serre et d’économie d’énergie, le problème ressemble de plus en plus à une hydre dont les têtes repoussent quand on les coupe. C’est pour montrer cette complexité, et également dans le but d’éduquer le public collégien et lycéen sur les problématiques vertes que Cap Sciences, une organisation scientifique de la région Aquitaine a mis au point un jeu extrêmement intéressant et ludique. Il s’agit de Clim’City (http://climcity.cap-sciences.net) inspiré du célèbre Sim City, sauf qu’il ne s’agit pas ici de construire une ville mais de la rendre plus verte.
Le jeu commence avec une ville où apparaissent les différentes composantes urbaines qui sont sélectionnables individuellement afin d’agir dessus. Ainsi, en cliquant sur un groupe de maison, on accède à la fenêtre « habitations » depuis laquelle on peut décider de politiques à mettre en place comme un plan d’installation de panneaux solaires ou d’isolation. Le but : en 50 ans, diminuer les émissions de GES de la ville, réduire les besoins en énergie et produire la majorité de son énergie depuis des sources renouvelables, le tout selon des objectifs fixés en début de jeu. De plus, les concepteurs ont poussé le réalisme jusqu’à créer des unités « budgétaires » qui se renouvellent chaque année et dont il faut se séparer pour lancer une nouvelle politique. Le principal attrait du jeu, c’est son réalisme : le problème environnemental est envisagé dans toute sa complexité et sera, à mon avis, très efficace pour montrer aux élèves l’ampleur de l’enjeu. Car bien, sûr, si le joueur ne diminue pas assez rapidement son impact environnemental, alors des catastrophes apparaissent les unes après les autres (inondations, sécheresse, maladies…), histoire de rappeler que ce genre de choses pourrait très bien arriver dans la réalité.
Pour ne pas gâcher le plaisir, je m’abstiendrai de décrire plus en détail ce jeu excellent mais difficile (deux tentatives et autant d’échecs pour votre humble serviteur). A titre personnel, j’ai toujours cru aux vertus pédagogiques des jeux vidéo, et Clim’City est pour moi le mariage parfait de jeu (ok c’est pas Diablo 2, mais c’est mieux que de lire le rapport Stern…), de réflexion et de sensibilisation à des problématiques cruciales. On ne peut que saluer cette initiative qui devrait être généralisée à tout le pays, d’autant plus que l’avenir environnemental de notre pays dépend de l’éducation que les jeunes d’aujourd’hui reçoivent sur le sujet. Bref, à tester !
Le jeu commence avec une ville où apparaissent les différentes composantes urbaines qui sont sélectionnables individuellement afin d’agir dessus. Ainsi, en cliquant sur un groupe de maison, on accède à la fenêtre « habitations » depuis laquelle on peut décider de politiques à mettre en place comme un plan d’installation de panneaux solaires ou d’isolation. Le but : en 50 ans, diminuer les émissions de GES de la ville, réduire les besoins en énergie et produire la majorité de son énergie depuis des sources renouvelables, le tout selon des objectifs fixés en début de jeu. De plus, les concepteurs ont poussé le réalisme jusqu’à créer des unités « budgétaires » qui se renouvellent chaque année et dont il faut se séparer pour lancer une nouvelle politique. Le principal attrait du jeu, c’est son réalisme : le problème environnemental est envisagé dans toute sa complexité et sera, à mon avis, très efficace pour montrer aux élèves l’ampleur de l’enjeu. Car bien, sûr, si le joueur ne diminue pas assez rapidement son impact environnemental, alors des catastrophes apparaissent les unes après les autres (inondations, sécheresse, maladies…), histoire de rappeler que ce genre de choses pourrait très bien arriver dans la réalité.
Pour ne pas gâcher le plaisir, je m’abstiendrai de décrire plus en détail ce jeu excellent mais difficile (deux tentatives et autant d’échecs pour votre humble serviteur). A titre personnel, j’ai toujours cru aux vertus pédagogiques des jeux vidéo, et Clim’City est pour moi le mariage parfait de jeu (ok c’est pas Diablo 2, mais c’est mieux que de lire le rapport Stern…), de réflexion et de sensibilisation à des problématiques cruciales. On ne peut que saluer cette initiative qui devrait être généralisée à tout le pays, d’autant plus que l’avenir environnemental de notre pays dépend de l’éducation que les jeunes d’aujourd’hui reçoivent sur le sujet. Bref, à tester !
Romain I